Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

BANG BANG.

7 novembre 2007

On the pavement.

J'aime bien aller de trottoir en trottoir.
Je file.

BLOG.

Publicité
18 octobre 2007

And I guess that I just don't know.

Seattle.
Eh ouais mec, c'est le grand départ. Le large, la côte ouest, les Mc Donalds tous les 10 mètres, le quartiers des avocats, etcetcetc.
Et ouais, et ouais, j'fais dans mon froc tellement j'pète une cable.
Et c'est dans quelques heures.
(5h45 du matin, j'suis désolée, mais c'est pas une heure, hein.)

17 octobre 2007

Tu vomiras son Or.

Music_Is_My_Hot_Hot_Sex_by_hakanphotography






Torturée. Tu as les tripes à l'air et le cerveau en compote de framboise. Danser avec les chats ; les gris, les rouges, les verts. Tu n'oublies plus. Les couleurs, les phrases, les entrées et sorties d'histoires dans ton crâne. Périphérique. Ça ne crie plus, ça ne chante plus. Les entrailles sont amplifiées à 300 Watts. Tu as les oreilles qui saignent de l'or et de l'envie. Il n'existe plus de plaisir autre. Tu baises avec les sons. Tu deviens la pute sonore narguant Jack. C'est lui que tu éventres. Encore et encore.
C'est de la pornographie. Te donner, te donner encore. Jusqu'à l'intérieur de tes os. La moelle. Rien n'existe plus que ça dans le bas ventre. C'est ton opium. C'est ton alcoolisme. C'est sur son comptoir que tu pose les coudes et que tu bois, bois, bois et bois encore. Jusqu'à vomir de l'or. Encore et encore.




Photographie.

15 octobre 2007

BLANK.

Parce que tout de même.

14 octobre 2007

Courir après le lapin en retard.





Ce fut un plaisir, mes amis...
Courir dans le trou, le vide se fait de plus
en plus grand. Une caisse de résonance
et tu vomis les sons que le Chat te
murmure à l'oreille. Tu veux oublier
alors tu crache. La salive faisant office de
mémoire déformée. Comme Alice. Il n'y a
plus de contes, il ne reste que les rats qui
courent. Vers la Folie ? Pure. C'est flou et
sa tourne, jusqu'au prochain élixir. Une
dose de whisky qui te donnera la dernière
démence. Tu n'oublies pas les vapeurs,
la fumée et explosion de crânes. Tu
cours. Jusqu'à en perdre haleine alcoolisée.
...de courir avec vous dans le jardin d'Alice .






untitled





Publicité
8 octobre 2007

Mad.






N'empêche qu'Elle est tout à fait extraordinaire.






8 octobre 2007

Carrence.




0032





N'auriez vous pas envie de siéger contre le vent et les marées ?
De ton ossature admirable, regarder de hauts les éléments qui se décaînent. C'est la tempète qui a détruit le vide de ta carcasse puante. Tu es rongé de l'intérieur, la circulation du sang inversée. Tu n'en peux déjà plus de ton statut d'homme. De cette statue érigée chaque matin pour te dire bonjour, pour te rappeler ton statut de mâle qui ne domnira jamais. Tu viens à peine de naître, et tu ne te souviens plus de ton passé. Tu es juste assez grand pour contenir le vide, et cette statue de chaire essaye de te parler. C'est un ouragant dans ton crâne, et ton coeur s'est pris la coulée de lave. Mais tu as oublié. Tu as oublié jusqu'à ton sexe, jusqu'à cette statue, tu as oublier d'être un homme. Et tu as mal jusque dans le bas ventre. Tes intestein se craquèlent en cherchant la réponse. Et tu tente de combattre la tempète. Faire de la place au vent calme, au petite vague sanguine. Tu essaie de te concentrer.
Tu l'as aimé. Tu t'en souviens. Tu l'as aimé et tu es partis. Tu as été sa tempète. Tu as été ses éléments en colère. Et as souffler sur sur son corps. Et tu l'as vidé, pour qu'elle te ressemble. Tu l'as vidé, pour qu'elle soit comme toi, en claqant la porte après les jeux, et sans dire aurevoir. Parce que tu l'aimais.
Moi j'aimerais tout contrôler.




7 octobre 2007

We're all Bobby Brown.

1198425726







L'électricité me brûle les tympans. Ça saute, ça grésille.
Nous sommes grands, beaux et sales. Nous somme pourris par l'argent, corrompus par l'amour, endormis dans un rêve qui a des arrières goûts de fades émissions de télé. On s'observe. On s'enferme en cage. Tous entre lions. Nous sommes des vautours. Nous mangeons dans l'assiette de notre voisin. On pense à son costard trois pièces, à ses potes de bureau, au match de rugby. On est des clichés, on est "in". On se la pète dépravées pour impressioner les midinettes. On crache, on baise. C'est toujours le même rêve. Aseptisé. Nous sommes des Bobby Brown. Nous sommes des futurs rêves américains. Pleins aux as, sans cervelle, et puants. On dort. Le crâne ingurgité par l'oreiller. On ne pense plus. On ne grandit plus. On préfère la facilité, le repos. On aime le vide et le néant. Nous puons la flemme. Nous puons la normalité. Nous sommes tous les chapitres dictés par un dictateur. Nous sommes nos propres dictateurs. On s'enferme. On s'enferme toujours dans le rêve qui coule. On se laisse aller.
Et puis, l'électricité brûle. On se réveille. On pense. On se lave, on s'en bon. Notre odeur nous est familière, ce qui n'est pas arrivé depuis des années. C'est le Beauté. C'est la Beauté qui se dresse face à nos cerveaux morts. C'est la Beauté qui nous réveille. C'est l'Art.
L'Art réveillera les endormis.
Je serais l'Art.





Parce qu'il n'y a pas d'autres solutions que d'y arriver.








Hey there, people, I'm Bobby Brown,
they say I'm the cutest boy in town.
My car is fast, my teeth is shiney , I
tell all the girls they can kiss my heinie.
Here I am at a famous school, I'm
dressin' sharp 'n' I'm actin' cool. I got a
cheerleader here wants to help with my
paper, let her do all the work 'n'
maybe later I'll rape her.
Oh God I am the American dream. I do
not think I'm too extreme. An' I'm
a handsome sonofabitch : I'm gonna
get a good job 'n' be real rich.
Get a good job.
Women's Liberation came creepin' all
across the nation. I tell you people I
was not ready when I fucked this
dyke by the name of Freddie. She made
a little speech then, aw, she tried to make
me say "when". She had my balls
in a vice, but she left the dick. I guess
it's still hooked on, but now it shoots
too quick.
Oh God I am the American dream but
now I smell like Vaseline. An' I'm a
miserable sonofabitch. Am I a boy or
a lady...I don't know which.
I wonder, wonder.
So I went out 'n' bought me a leisure
suit. I jingle my change, but I'm still
kinda cute. Got a job doin' radio promo
an' none of the jocks can even tell
I'm a homo. Eventually me 'n' a friend
sorta drifted along into S&M. I can
take about an hour on the tower of
power, 'Long as I gets a little golden
shower.
Oh God I am the American dream with
a spindle up my butt till it makes
me scream. An' I'll do anything to get
ahead. I lay awake nights sayin',
"Thank you, Fred!". Oh God, oh God,
I'm so fantastic! Thanks to Freddie,
I'm a sexual spastic.
And my name is Bobby Brown
Watch me now, I'm goin' down.

Bobby Brown - Frank Zappa.

7 octobre 2007

Baby penetrates my mind.







l_c78209cd2943bacbd8579bc4aceac4fe






MY MIND.
Ça vire à l'obsession. Au fanatisme destructeur. J'approche doucement de mes pas pressés la folie douce ; agréable et réchauffante de la musique. Les notes enchaînent mes veines de leurs barbelés violent et réconfortant. Il n'y a plus d'autres portes que celle qui ouvrent à a création. Le feu.
It's penetrate my soul, fucking sound.






5 octobre 2007

Why does it hurt ?

Lisez ceci et faites marcher votre esprit critique.

Oui, ça me révolte. Entendre notre (ô combien cher à mon coeur, n'est-ce pas) président de la République déblatérer ces phrases - certes, magnifiquement consruites - qui ont pour unique but de manipuler, encore une fois, les foules me donne la nausée. Ces magnifiques concessions n'ont qu'un seule et unique but, toujours le même : limiter l'immigration jusqu'à ce qu'elle atteigne son point zéro.
Oui, nous dit-il, l'Afrique est un merveilleux continent, riche de ses diversités. Et il est bien dommage, qu'une telle richesse, que la grande intelligence qui se cache dérrière chaque africain soit etravée par les guerres, l'extrème pauvreté, et le progrés qui n'existe pas. Oui, la colonisation a fait d'énorme dégats, mais ces dégats sont seulement dus au méchants colons. Parce que non, tous les colons ne sont pas des gens mauvais. Il y a avait aussi d'honête gens, asservissant un peuple pour le bien de celui-ci, pensant que l'esclavage, et les traitements d'une atrocité innomable était bon pour le développement de cette sous espèce. C'est bien connu, la douleur fait murir plus vite.
Oui, les méchants colons ont enlevé toute confiance au peuple africain, mais les africains n'ont pas été capable de réacquérir cette confiance en eux-même ; et c'est pour cela, qu'ils n'ont jamais tenté de marqué l'histoire, qu'ils sont restés enfermés dans leur croyances et dans leur passé. Evidemment, comprenez bien, monsieur Sarkozy n'a jamais entendu de grands hommes tels que Nelson Mandela, qui ne se sont, évidemment jamais battus pour leurs droits que la colonisation leur avait enlevés, et dont vous ne connaissez, évidemment pas le nom aujourd'hui.
De plus, la jeunesse africaine est une jeunesse rêveuse. Mais elle n'est pas, comme nous pourrions tous le penser venant d'un peuple que la pauvreté, les maladies, et le manque d'éducation écrasent, rêveuse d'une vie meilleure. Elle est, comme la jeunesse occidentale, rêveuse de voyages, et de voir d'autres civilisations inconnus. Et ce sont ces rêves, et non pas une vision de l'occident idéaliste et érronée, qui font qu'ils sont aujourd'hui des milliers à risquer leur vie à traverser la Medittéranée en barque pour accéder au continent Européen et qu'ils sont condamnent à la clandestinité. La jeunesse africain doit "croire plutôt que comprendre, ressentir plûtot que raisonner" afin d'atteindre "l'harmonie" plutôt que rechercher la "conquète". Car c'est le besoin de cette dernière, de conquérir l'occident, la connaissance de ses différentes cultures, et non pas la conquète d'une vie meilleure, qui pousse les jeunes gens à investir notre continent.
Enfin, chose évidente, la jeunesse doit rester chez elle. Elle ne doit pas investir nos pays, sans quoi, elle participerait à la perte de l'Afrique, mais surtout à la notre.
Et nous nommes là, arrivés à la conclusion d'un discours qui nous montre encore une fois le président (ou plutôt la personne qui écrit ses discrous) comme un génie de l'utilisation des mots dans le but de manipuler. Et ils s'attaquent ici, aux principaux concernés par l'immigration : les immigrés eux-même, en tentant de les dissuader de venir dans notre pays.

Chris_Steele_Perkins

Mais la réalité de l'immigration notre cher président ne la connais pas. L'immigration est due à l'image idéalisée que le peuple africain a de l'occident. Au fait qu'ils voient l'Europe comme une Terre Promisen qui les sauvera de leur misère. Qui leur offrira un travail, des études, et une réussite sociale. Et ce n'est nullement un rêve de "conquète" de la jeunessse africaine. C'est une réelle demande d'une vie meilleure. Une vie qu'ils n'auront pas à l'arrivée - quand l'arrivée existe. Et la plupart passeront leur vie à regretter du haut de leur tour HLM, la chaleur de leur continent.

Photographie : (c) Chris Steele-Perkins pour l'agence Magnum.

Publicité
1 2 > >>
Publicité